Un sondage OpinionWay réalisé auprès de plus de 200 DRH pour l’application Mon coach Bescherelle est clair : 52 % des DRH interrogés affirment qu’une expression écrite d’un niveau insuffisant peut entraîner la mise à l’écart d’une candidature.
Toujours dans l’analyse de cette enquête, 99% des recruteurs estiment que bien s’exprimer à l’écrit est important. Important dans la recherche d’un emploi et important également lorsque, une fois embauché, le salarié devra communiquer avec ses collègues ou des clients. En effet, presque la totalité des DRH estime que l’image de l’entreprise pourrait alors pâtir d’un manquement aux règles de la bienséance grammaticale et/ou orthographique.
Les DRH sont donc confrontés, au sein des nouvelles générations (celles qui n’ont pas grandi avec le Bled et le Bescherelle), à une expression écrite (sms ou phonétique) qui peut les sanctionner dès la réception de leur lettre de motivation.
A compétences et profils similaires, l’orthographe se révèle être un facteur déterminant et ce sont les cancres des dictées qui seront les premiers sanctionnés.
Il est donc très important de rédiger une lettre de motivation sans fautes d’orthographes, avec une bonne grammaire ainsi qu’une conjugaison qui ferait rougir vos anciens professeurs de français pour maximiser vos chances d’embauches.
Alors, soyez vigilants avec les cédilles, les accents, la ponctuation, les majuscules, les accords…
Faire des fautes d’orthographe lorsque vous écrivez votre lettre de motivation ou votre cv n’est pas dramatique. En revanche, les envoyer sans les corriger (il y a forcément autour de vous des personnes capables de vous aider) est difficilement acceptable !