Dans les années 90, on a cru que la fonction de « manager coach » permettrait aux entreprises de mieux faire face aux exigences du marché. Cela n’a pas du tout fonctionné : ce sont deux métiers qui ne peuvent que très rarement se combiner.
Le coaching en entreprise est donc devenu au fil des années un support indispensable pour le métier de manager.
Pour résoudre un problème ? Pas toujours.
Le coaching a été souvent été vu comme une solution simple à la résolution d’un problème. Pourtant, même si ça peut être le cas, ce n’est pas une évidence. En effet, bon nombre d’entreprises vont bien et elles font appel à un coach parce qu’elles souhaitent avancer plus vite ou différemment.
Selon Max Meulemans (fondateur de Coaching Ways), le succès phénoménal du coaching en entreprise qu’on connaît actuellement est en grande partie dû à la recherche de performance face aux changements continuels du marché. Ce dernier change constamment et rapidement d’où l’intérêt d’engager un professionnel (le coach) pour aider à mieux les appréhender.
Le coach supporte et accompagne le manager afin d’assurer une bonne transition à travers chaque changement. Bien évidemment, leurs actions portent toutes sur l’employé ou l’équipe dont ils prennent soin.
Le coaching en entreprise favorise le bien-être.
Le coach en entreprise travaille simultanément sur le corps et la psychologie du collaborateur ou de toute l’équipe concernée. Avec un regard neutre et bienveillant, il permet de libérer tout le potentiel du coaché. Un regard sans jugement agit positivement sur le niveau de stress de l’individu. De ce fait, la personne est à même de donner le meilleur d’elle-même dans son travail.
Le coaching se concentre souvent sur l’aspect professionnel mais aujourd’hui, de plus en plus d’entreprises engagent aussi des coachs pour améliorer la qualité de vie au travail.
L’amélioration de la QVT permet aux salariés de se réaliser et de s’épanouir dans leur travail. Ça passe par la prise en compte de l’organisation du travail, des conditions de travail, du cadre professionnel des salariés. C’est aussi un impératif économique : des salariés pleinement heureux dans leur travail sont un facteur de développement et d’efficacité de l’entreprise.